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septembre 2023 Rendez-vous
Vie chère : Stop !samedi 2 septembre 2023 à 10h FLAMBEE des PRIX, Bruno Lemaire avait prédit : « La hausse des prix c’est finie, je m’y emploie ». L’oracle, n’a visiblement pas bénéficié des bonnes augures, car c’est tout le contraire qui se produit : Tout augmente, et pas qu’un peu ! …sauf les salaires et les pensions. Lemaire a pourtant les moyens de faire ce qu’il dit. Mais bien évidemment, il ne le fera pas, car pour son gouvernement, l’inflation est une orientation politique qui consiste à rembourser le démagogique « Quoi qu’il en coûte ». C’est un peu comme en 2008, lors de la crise financière dite des subprimes. Tous les gouvernements du monde ont été capables de sortir, en quelques jours, des centaines de milliards de dollars, pour renflouer les banques en faillite. Suite à quoi, tous ces mêmes dirigeants ont imposé des politiques d’austérité, et de blocage des salaires, pendant des années, pour des décennies. Lemaire était de ceux là, il connait la manœuvre, et surtout l’air de la chanson qui doit accompagner cette escroquerie : Raconter des salades aux travailleurs, pour qu’ils acceptent payer les dettes des milliardaires, sans broncher. Chassez le naturel, il revient au galop. Quel mensonge de nous parler ainsi de réduction d’impôts sur le revenu, alors qu’au même moment les impôts indirects s’envolent. En effet, en période d’inflation, la T. V. A. remplit abondamment les caisses de l’Etat, grâce au fait qu’elle est indexée automatiquement sur les prix de vente. A elles seules, l’ensemble des taxes représente les trois quarts du budget de l’Etat. Et ce sont elles qui saignent les pauvres, car elles sont présentes sur tous les produits de consommation courante. De plus, elles représentent une injustice manifeste, dans la mesure où le prix de la baguette de pain, du kg de légumes, du litre de lait, etc… est le même pour tous (bref, les pauvres payent pour les riches !). Non, combattre l’inflation ne passe pas par les « bonnes combines » que diffusent journaux et télévisions, comme si, le fait de ne pas arriver à boucler les fins de mois, ne serait qu’une affaires de mauvaise débrouillardise. Non, combattre la hausse des prix ne passe pas par des trucs médiatiques. Combattre l’inflation consiste à engager une véritable lutte contre le Pouvoir, les banques, et le grand capital, pour leur imposer le blocage des prix, la suppression de la TVA, et l’ augmentation des salaires et pensions. Et pendant ce temps, Marche des fiertés Limoges 2ème éditionsamedi 9 septembre 2023 à 13h30 Marche des fiertés Limoges 2ème édition Le samedi 9 septembre 2023, aura lieu à Limoges la deuxième édition de la marche des fiertés. Venez célébrer avec nous tout au long de la journée les couleurs de l’amour et de la diversité. Au programme : 10h - 18h Place de la Motte : Village associatif 13h45 Place de la Motte : Discours d’inauguration puis départ en marche des fiertés Dès 18h30 jusqu’à 1h CCM John Lennon : After Party avec show drag, dj set, flash tattoo, ... Dès 23h30 jusqu’au bout de la nuit, au zic zinc : After de l’after en partenariat avec Blasted. Conférence UPAJ : Faire face à l’Anthropocènejeudi 21 septembre 2023 à 20h30 Conférence UPAJ : Faire face à l’Anthropocène Les conférences de l’UPAJ sont centrées sur la transition écologique, la préparation aux ateliers et le soutien aux associations citoyennes. Elles sont gratuites dans une perspective, comme les ateliers, de partage du savoir par des citoyens et des spécialistes. L’entrée est libre. Nul besoin d’être adhérent pour y assister. On peut donner ce qu’on veut au « chapeau » quand on y assiste. Rencontre avec Nathanaël Wallenhorst, auteur du livre « Vortex, faire face à l’anthropocène » (Payot 2023) Sujet : la transition écologique Cette conférence est une introduction à la nouvelle activité des groupes de réflexion. La 1ère conférence de la saison : Rendez-vous le jeudi 21 septembre 2023 à 20 h 30 à la médiathèque Jean Carmet à Murs Erigné Entrée libre ; nul besoin d’être adhérent pour y assister. Participation au « chapeau »
Marche unitaire : pour la fin du racisme, des violences policières, pour la justice socialesamedi 23 septembre 2023 (heure non définie) Marche unitaire : pour la fin du racisme, des violences policières, pour la justice sociale Pour la fin du racisme systémique, des violences policières, pour la justice sociale et les libertés publiques. Le meurtre de Nahel, tué par un policier à bout portant le 27 juin 2023 à Nanterre, a mis de nouveau la lumière sur ce qui doit cesser : le racisme systémique, les violences policières, et les inégalités sociales que creuse la politique de Macron. Une politique néolibérale imposée par des méthodes autoritaires, des lois sécuritaires et une doctrine du maintien de l’ordre décriée jusque dans les plus grandes instances internationales. Une politique régressive qui fait le lit de l’extrême-droite et piétine toujours plus nos libertés publiques, notre modèle social, notre avenir face à l’effondrement écologique. En première ligne des victimes de ces choix politiques, les habitant·es, et notamment les jeunes des quartiers populaires et des territoires ultramarins, qui subissent de plein fouet l’aggravation de toutes les inégalités sociales dans un contexte économique d’inflation, de hausse des loyers, des prix de l’énergie et de politiques d’urbanisme brutales. Les réformes de la Macronie accentuent la pauvreté en durcissant notamment l’accès aux prestations sociales. La scandaleuse réforme de l’assurance chômage en est un exemple significatif alors que la précarité au travail augmente. Les révoltes dans les quartiers populaires ne peuvent s’analyser que dans ce contexte global. Les habitant·es de ces quartiers, et notamment les mères isolées, pallient bien souvent seul·es les carences de services publics dont la destruction s’accélère de jour en jour. A côté de cela, de nombreuses violences sont perpétrées contre les populations : délocalisation et destruction de l’emploi, évasion et fraude fiscale, mode de vie des ultras riches écocidaire, supers profits des multinationales, modes de production hypers polluants responsables de la crise climatique. Et pour cela, l’Etat laisse faire ! De plus, les populations racisées et/ ou issues des classes sociales défavorisées, des quartiers populaires, des zones rurales et périurbaines appauvries, des territoires ultramarins sont victimes de violences institutionnelles et systémiques, notamment policières. La politique répressive de l’Etat est encore renforcée par le dernier remaniement ministériel, qui a élargi les compétences du ministère de l’Intérieur à la ville, l’Outre-mer et la citoyenneté. La répression s’étend avec toujours plus d’intensité et de violences policières, d’interdictions de manifester, contre le mouvement social et écologiste, comme lors de la lutte contre la réforme des retraites rejetée par l’immense majorité des travailleur-ses et leurs syndicats et à Sainte-Soline. La liberté associative, directement et indirectement, est de plus en plus mise en cause. Cette situation est d’autant plus inquiétante que l’institution policière paraît hors de contrôle du pouvoir politique. Des déclarations factieuses de certains syndicats de policiers suite au meurtre de Nahel aux déclarations du Directeur général de la police nationale et à celle du Préfet de police de Paris ainsi que le ministre de l’intérieur, c’est l’institution policière qui aujourd’hui remet en cause l’État de droit, plutôt que de mettre fin à l’impunité des auteurs de violences policières. Nos organisations syndicales, associations, collectifs, comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières et partis politiques se mobilisent ensemble dans la durée pour la convergence des justices antiraciste, sociale et écologique, féministes et pour que cessent les politiques sécuritaires et anti sociales. La crise démocratique, sociale, politique que nous traversons est très grave. Nous ne pouvons accepter qu’il y ait encore d’autres morts comme Nahel, ou d’autres blessé.es, victimes des violences policières. Nous appelons à reprendre la rue samedi 23 septembre, à organiser des manifestations ou d’autres initiatives sur tout le territoire, pour faire front ensemble contre la répression des contestations sociales démocratiques et écologiques, pour la fin du racisme systémique, des violences policières, et pour la justice sociale climatique, féministe et les libertés publiques. Nous exigeons des réponses immédiates et dans l’urgence : - abrogation de la loi de 2017 sur l’assouplissement des règles en matière d’usage des armes à feu par les forces de l’ordre ; Marchons toutes et tous ensemble le 23 septembre ! Premières organisations signataires : Collectifs/comités de quartiers populaires, de victimes de violences policières : Coordination pour la Défense des habitants des Quartiers Populaires, Coordination nationale contre les violences policières, Coordination nationale "Marche 40 ans", Collectif Justice pour Claude Jean-Pierre, Comité Justice pour Othmane, Collectif Justice et Vérité pour Yanis, Comité Justice pour Alassane, Collectif Stop Violences Policières à Saint-Denis, Comité vérité et justice pour Safyatou, Salif et Ilan, Mémoire en marche Marseille. Organisations syndicales : CGT, FSU, Union syndicale Solidaires, Fédération Syndicale Étudiante (FSE), Mouvement national lycéen ( MNL ), L’Union étudiante. Associations et autres collectifs : Alternatiba, ANV-COP21, Attac France, Collectif National pour les Droits des Femmes (CNDF), Coudes à Coudes, Dernière Rénovation, Droit Au Logement (DAL), FASTI (Fédération des Associations de Solidarité avec Tou-te-s les Immigré-e-s), Fédération nationale de la LIbre Pensée, Femmes Egalité, Fondation Copernic, Gisti (Groupe d’information et de soutien des immigré·es), Les Amis de la Terre France, La Révolution est en marche, Marche des Solidarités, Memorial 98, Planning familial, Réseau d’Actions contre l’Antisémitisme et tous les Racismes (RAAR), Association Stop Aux Violences d’État, Alternatiba Paris, Association Intergénérationelle de la Rabière (AIR-37), Association Naya (37), Association Nouveaux Souffle pour l’Insertion Sociale et Professionnelle (ANSIP-37). Organisations politiques : EELV Europe Ecologie Les Verts, ENSEMBLE Mouvement pour une Alternative de Gauche, Écologiste et Solidaire, LFI - La France insoumise, Front Uni des Immigrations et des Quartiers Populaires ( FUIQP), Gauche démocratique et sociale (GDS), La Gauche Ecosocialiste, Génération.s, Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), Nouvelle Donne, Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF), Parti Ouvrier Indépendant (POI), Révolution Écologique pour le Vivant (REV), Vivre Ensemble Solidaires en Métropole Tourangelle (VESEMT-37). Conférence populaire : journée internationale du droit à l’avortementjeudi 28 septembre 2023 à 19h30 Conférence populaire : journée internationale du droit à l’avortement Une conférence populaire présentée par Marie Bodard - Comédienne intervenante En partenariat avec KOZER - Arc En Ciel Théâtre RENDRE VISIBLE L’INTELLIGENCE COLLECTIVE "Et si nous faisions la conférence nous-mêmes ? Et si mon voisin avait des idées aussi intelligentes que les miennes ? Et si nos idées valaient celles d’un conférencier ? Parce que pour refaire le monde, nous devrons bien partir de ce que nous comprenons, pas seulement de l’étalage du savoir d’un seul. Retrouvons le goût d’échanger autour d’un verre, partageons nos savoirs, disputons-nous si nécessaire, pour distinguer ensemble le sujet qui nous réunit. Nous cultiver les uns les autres. Une atmosphère où l’on peut affirmer ses rêves ou ses envies, entendre ceux et celles des autres, où la convivialité invite à pousser la réflexion un peu plus loin. Une table, un coup à boire, des voisins et de l’échange,... pour se sentir pleinement sujet de notre vie."
Violences sexistes, la répression ne suffit pasjeudi 28 septembre 2023 à 18h30 Violences sexistes, la répression ne suffit pas Les Amis du Monde Diplomatique vous proposent : Jeudi 28 Septembre à 18 h 30 Bibliothèque multimédias 26 rue le los Heros Le HAILLAN Violences sexistes, la répression ne suffit pas Près de 6 ans après l’émergence du mouvement "Metoo" en France, la justice a fait de réels progrès dans la prise en compte des violences sexistes et sexuelles. Mais si la loi sanctionne davantage, les moyens dévolus à la justice et la protection effective des victimes sont-ils suffisants ? Comme le déplore le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes en 2022 : « les plaintes augmentent, les violences ne reculent pas et restent largement impunies ». Avec Vincent Sizaire magistrat et co-auteur de l’article Violences sexistes, la répression ne suffit pas (Le Monde diplomatique, mars 2023) et auteur de "Etre en sûreté, paru en 2020 "aux éditions La dispute. Venez vous informer et en débattre Les modifications éventuelles sont de la responsabilité des organisateurs. |