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RÉSEAU SOCIAL SOLIDAIRE
MONROE ASSASSINÉE ! ENFIN LA VÉRITÉ SUR UN CRIME D’ÉTAT !

La vraie mort de Marilyn Monroe

Source : Speederich
- D’après "Marilyn Monroe, enquête sur un assassinat", par Don Wolfe. Traduit de l’américain par Dominique Peters, Dominique Kugler, Nadine Gassié, Pierre Girard et Andrée Nahline.

13 décembre 2011

Qui a tué Marilyn ?

Marilyn Monroe est morte officiellement au matin du dimanche 5 août 1962, à 4 h 25. Elle avait 36 ans.Elle avait peur. Elle comptait encore sur deux ou trois doigts les amis qui ne l’avaient pas trahie.On la déclara suicidée. Overdose. Trop de médicaments, trop de dom Pérignon, trop de... Pas assez de chaleur humaine pour le corps le plus moelleux qui fut jamais photographié. L’un des premiers livres faisant clairement état d’un assassinat fut écrit en 1964 par un ancien du FBI. Une sorte de Fox Mulder de drôles d’X Files, Frank Cappell, qui s’interrogeait en 70 pages sur L’Etrange Mort de Marilyn Monroe (Strange Death of Marilyn Monroe).

Le 15 octobre 1998 sort, aux États-Unis, en Grande-Bretagne et en France, le même jour, peut-être ce qui résume toute l’affaire, du moins, et cela est sûr, la somme des enquêtes, recherches effectuées depuis la mort de Marilyn, augmentée de douze ans de travaux, de fouinages, d’interviews et de contre-interrogatoires : Marilyn Monroe, enquête sur un assassinat, de Don Wolfe. Ni un flic ni un journaliste d’investigation, un acharné. Un homme de cinéma, qui collabora avec Spielberg, travailla sur maints films, dont, naguère, Certains l’aiment chaud, de Billy Wilder. Starring Marilyn Monroe.

Les écrivains sont des êtres remarquables qui offrent en effet à leurs personnages, aux sujets humains de leurs études, la plus grande liberté. Comment faire passer dans le sens commun que lire le livre de Don Wolfe est libérer Marilyn ? Non pas la venger, lui donner une revanche. Le repos. Lui faire savoir par-delà l’Au-delà que jamais plus elle ne sera plaquée. Sa terreur.

Elle mourut le dimanche. Une perdrix dans un tableau de chasse, une voix à écouter par des micros cachés, une arme et un danger dans le maintien au pouvoir. Un objet. Mais cet objet savait écrire, espérer. Croyait en quelque chose qui n’avait déjà plus cours, la bête honnêteté des pères fondateurs. Ignorait que le FBI et la CIA détenaient un dossier à son nom, dont le frère, en cyrillique, reposait au Kremlin. Marilyn avait ses secrets. Elle les inscrivait dans un cahier rouge. Comme des notes de répétitions. Comme un scénario à apprendre par cœur. Il fallait le récupérer. En lisant Don Wolfe, on sait que la décadence de la démocratie en Amérique date plus de la traque du cahier rouge de l’ex-Norma Jeane chantée si joliment par Birkin que de l’étude de la robe bleue de Monica. Quand l’Etat commet ses crimes, le nettoyage ne se fait pas au pressing pour que la Maison paraisse Blanche.

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Bhopal : vivre et mourir avec le risque industriel

Source :Le Monde diplomatique
- Par Olivier Bailly

Décembre 2004

Dans la nuit du 2 au 3 décembre 1984, à Bhopal, en Inde, un nuage toxique d’un des gaz les plus dangereux de la chimie industrielle s’échappait d’une usine filiale de la multinationale américaine Union Carbide. La catastrophe causait plusieurs milliers de morts et plus de 300 000 malades, dont beaucoup, handicapés, vivent toujours dans des conditions déplorables. A ce drame a succédé le scandale d’une impunité qui a permis aux dirigeants d’Union Carbide d’échapper à la justice indienne et à leurs responsabilités. Comme s’il s’était agi d’une catastrophe naturelle imprévisible et contre laquelle on ne pouvait rien...

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Génocide au Rwanda

avril-mai 1994

  • Massacres Systématiques
  • Les pires mais pas les premiers massacres
  • Les massacres commencent immédiatement après l’écrasement de l’avion
  • La reprise de la guerre
  • Un gouvernement s’auto-proclame
  • Expansion des massacres
  • Nettoyer ceux qui sont restés
  • L’autorité centrale
  • Résistance aux massacres
  • Ceux qui peuvent mettre fin à la violence
  • Les abus commis par le Front Patriotique Rwandais
  • La souffrance des déplacés
  • Réaction de la Communauté Internationale
  • Le rôle des Nations Unies
  • La communauté diplomatique a Kigali
  • Le rôle des États Unis
  • Le rôle de la France
  • Recommendations

La mort du Président Juvénal Habyarimana suite à l’écrasement de son avion dans des circonstances obscures le 6 avril 1994 a servi de prétexte aux extrémistes Hutu de déclencher un génocide contre les Tutsi, une minorité qui compte pour près de quinze pour cent de la population rwandaise. Les extrémistes ont aussi massacré les Hutu qui voulaient coopérer avec les Tutsi pour former un gouvernement plus démocratique. Six semaines plus tard, les massacres continuent. Au moins 200.000 et peut-être 500.000 civils sans armes et sans résistance ont été massacrés et la communauté internationale a brillé par son inaction.

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RÉVÉLATIONS SUR LE COUP D’ÉTAT DE 1953

Quand la CIA complotait en Iran

Source : Le Monde Diplomatique
- Par Mark Gasiorowski

Octobre 2000

Pour la première fois, le 19 mars 2000, la secrétaire d’Etat américaine Madeleine Albright reconnaissait l’« implication » des Etat-Unis dans le coup d’Etat qui renversa le premier ministre iranien Mohammad Mossadegh en 1953. Pourtant, les circonstances de cette intervention restent mal connues. Un rapport de la CIA, divulgué en avril 2000 par le New York Times, révèle le rôle joué par les services secrets de Londres et de Washington dans un événement qui renversa les rapports de forces au Proche-Orient.

Il y a quelques mois, le New York Times reçoit le rapport officiel du coup d’Etat mené en 1953 par la CIA contre le premier ministre iranien Mohammad Mossadegh. Le 16 juin 2000, le journal publie ce récit sur son site Internet (1). Les noms de plusieurs personnalités iraniennes impliquées y sont effacés, mais la plupart d’entre elles sont désignées nommément sur un autre site (2). Ce document passionnant contient d’importantes révélations sur la manière dont cette opération fut menée, et toute personne intéressée par la politique intérieure de l’Iran ou la politique étrangère américaine devrait le lire.

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Jean Ziegler : « La mémoire du Sud ressurgit ; elle attise la haine de l’Occident »

Source : Mondialisation. ca
- par Benito Perez

Le 12 novembre 2008

« Il n’y a pas de dialogue possible entre opprimé et oppresseur »

En tant que tiers-mondiste, vous devriez être heureux de voir le Sud entrer en action. Pourquoi lancer cet avertissement à l’Occident ?

Je suis frappé par l’extraordinaire aveuglement de l’Occident. Face à cette mémoire blessée, il oppose une mémoire arrogante. L’Occident pratique le négationnisme le plus total. Prenez Sarkozy qui va à Dakar justifier le colonialisme, car les Français ont construit des routes, des centres de santé, etc. Il y a une indécence à vouloir justifier les centaines de milliers de morts... C’est le dernier avatar du colonialisme : la colonisation de l’histoire coloniale ! Bien sûr, je suis également très heureux quand je vois ce que réalise le peuple bolivien. Normalement, les Aymaras, les Quechuas, après ce qu’ils ont subi, devraient être en miettes, liquidés, incapables d’une quelconque réaction. Or non seulement ils ont été capables de récupérer leur mémoire et d’affirmer leur identité, mais ils sont aussi parvenus à réaliser le plus incroyable transfert de richesses de ce siècle : les deuxièmes réserves gazières du continent retirées aux seigneurs transnationaux pour les confier au peuple ! Vous imaginez ce que ça demande comme force, comme capacité d’analyse et d’action. C’est un miracle absolu !

Que pourraient faire les démocraties occidentales pour atténuer cette haine et jeter des ponts vers le Sud ?

Cabral1 disait : « C’est seulement quand le nombre de cadavres de l’oppresseur est suffisamment grand qu’il commence à écouter... » Il n’y a pas de dialogue possible entre l’opprimé et l’oppresseur. Ce qu’il faut, c’est la justice ! La première chose à faire pour l’Occident, c’est de reconnaître les crimes commis, de s’excuser et de faire réparation, en démantelant les structures d’oppression. Par exemple, en revenant à la négociation des prix des matières premières.

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La Déclaration universelle des droits de l’homme

Source : ONU

Le 10 décembre 1948, au Palais de Chaillot, à Paris, les 58 Etats membres de l’Assemblée générale des Nations unies ont adopté la Déclaration universelle des droits de l’homme.

Préambule

Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.

Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité et que l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’homme.

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Une histoire de la démocratie

Source : Cahier Plus de La Presse
- Par Jacques Dufresne

24 août 2005

DIX GRANDS MOMENTS DANS L’ HISTOIRE DE LA DEMOCRATIE

Thersite, simple soldat à la guerre de Troie.

L’Illiade, le livre fondateur de la civilisation occidentale, s’ouvre sous le signe d’une indomptable liberté de parole. Les assemblées succèdent aux assemblées. Dans l’une d’elles, le soldat Thersite s’adresse en ces termes au généralissime Agamemnon :

"Allons ! fils d’Atrée, de quoi te plains-tu ? Tes baraques sont pleines de bronze, tes baraques regorgent de femmes, butin de choix, que nous les Achéens, nous t’accordons à toi, avant tout autre, chaque fois qu’une ville est prise. [...] Ah ! poltrons ! lâches infâmes ! Retournons donc chez nous avec nos nefs et laissons-le là en Troade, à cuver ses privilèges."

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Hiroshima, Nagasaki : une histoire méconnue

Source : Monde Solidaire

16 septembre 2006

Le texte ci-dessous résulte de recherches historiques et philosophiques conduites dans les années 1980, qui ont fait l’objet d’une thèse soutenue en 1991. Il a été diffusé en août 2000 pour commémorer le 55e anniversaire des bombardements de Hiroshima et Nagasaki. Trois ans plus tard, à la veille de leur 58e anniversaire, cette analyse reste plus que jamais d’actualité : les faits historiques qu’elle mettait en évidence sont demeurés incontestés ; et les inquiétudes exprimées en conclusion se sont malheureusement vérifiées...

HIROSHIMA, NAGASAKI : une histoire méconnue et des leçons plus que jamais d’actualité.

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