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RÉSEAU SOCIAL SOLIDAIRE

Décryptage des élections présidentielles de 2007 (2)

La racaille de Neuilly est dans la place !

La faillite d’une certaine conception du politique


Tout ce cirque pseudo démocratique pour en arriver à la conclusion affligeante suivante : le pouvoir anti-populaire a une légitimité populaire.

Ce fameux « civisme » de participation dont se gargarisent les médias et à peu près toutes les organisations politiques n’est que l’instrument et l’expression d’un abêtissement généralisé de la société civile... une mis en condition pour justifier une légitimité de pacotille fondée sur la manipulation et le conditionnement.

Ah elle est belle et efficace la « démocratie » de nos théoriciens politiques de gauche ! Ils ont bonne mine les « donneurs de leçon » et stratèges qui siègent dans les palais dorés de la République (faut-il donner des noms ?)....

Et que vont-ils maintenant raconter aux jeunes des banlieues qu’ils ont manipulés, qu’ils ont harcelés pendant des semaines pour qu’ils s’inscrivent sur les listes électorales ? Qu’il faut être patient ? Qu’il faut aller voter pour les mêmes aux législatives ? Qu’il faut attendre cinq ans ?...

Non seulement ils nous ont conduit dans la « merde » - avec plus ou moins notre consentement il est vrai -, mais il vont encore nous y enfoncer... Comment ? Mais c’est très simple

Ce sont des individus, incapables de voir au-delà des prochaines échéances électorales...

Nous sommes aujourd’hui dans une impasse politique.

Les organisations politiques existantes le peuvent-elles ? Probablement pas. PS et PC moribond sont totalement dépassés, sclérosés, rongés par la soif de pouvoir, la bureaucratie et l’étroitesse d’esprit,...

C’est donc sur un autre terrain qu’il faut aujourd’hui poser la question stratégique... terrain sur lequel n’intervient aucune organisation... sinon pour s’en servir uniquement de faire valoir, le terrain de l’alternative sociale et politique.

C’est dans ce nouveau champ que doit se construire la véritable démocratie, le monde nouveau, par une pratique alternative qui a la fois fondera une véritable autonomie et autodétermination du citoyen par rapport à un système qui l’oppresse et jettera les bases de rapports sociaux nouveaux. On est alors loin des grenouillages et artifices des élections.

Dans ce domaine tout est à faire, quoique des bases ont déjà été posées, dans le débat et la réflexion économique et sociale depuis le 19e siècle, mais aussi et surtout au travers des structures alternatives qui, plus ou moins empiriquement se sont installées dans le paysage social et économique. Ce sont ces structures qu’il faut développer, étendre, fédérer, intégrer dans une stratégie de critique, de contestation et de dépassement du système marchand. Ce sont ces structures et leur développement qui doivent porter les espoirs pour demain...

Le pouvoir néo conservateur va désormais tout verrouiller : les médias, les institutions. Il va limiter nos marges de manœuvre et d’action par la loi et la répression. S’affronter directement à lui est suicidaire, marcher sagement dans les limites qu’il nous autorise c’est capituler.

Nous n’avons désormais plus le choix. Laissons aux « Sisyphe » de l’action politique le soin et la tâche de rouler indéfiniment la roche de leurs espoirs toujours déçus sur la pente abrupte du parcours du combattant imposé par le système.

Investissons de nouveaux espaces de pratique et de liberté.

Inventons un autre rapport au politique.

- Patrick MIGNARD


A Gauche option Politique

Face à Nicolas Sarkozy, la réponse doit être politique


- Source : AntiSarko

Le résultat du second tour de l’élection présidentielle a donné une majorité de voix à Nicolas Sarkozy.

En se déplaçant massivement dans les bureaux de vote, les Français ont fait un choix net, qui ne peut être contesté que dans les urnes.

C’est la raison pour laquelle nous considérons que la violence, les blocus et les débordements ne sauraient être une réponse à la victoire du candidat de l’UMP.

Ces événements sont contre-productifs : ils renforcent la diabolisation des “antisarko” en favorisant l’amalgame entre les manifestants et les casseurs ; ils renforcent aussi Nicolas Sarkozy dans son entreprise de disqualification de ses adversaires politiques et dans sa volonté de paralyser et d’anéantir toute opposition.

Voilà pourquoi, les comités AntiSarko se désolidarisent de ces actions.

Notre devoir est de nous mobiliser d’urgence pour battre la droite dans les urnes, lors des élections législatives des 10 et 17 juin prochains.

Il est nécessaire que la gauche soit la plus forte possible à l’Assemblée nationale, pour former une opposition nombreuse, audible et crédible. Nous connaissons en effet la tentation du nouveau Président de la République de construire autour de lui un Etat UMP omnipotent qui lui sera entièrement acquis, et de porter atteinte à la séparation des pouvoirs. Le sursaut de la gauche est pour cette raison un impératif démocratique.Notre combat, c’est aussi de continuer notre travail d’analyse et de décryptage de la politique que Sarkozy et son gouvernement mettront en œuvre.

Plus que jamais, il nous appartient de garder notre réactivité pour dénoncer la politique ultra-libérale, répressive et conservatrice que l’UMP a préparée, et dont nous connaissons déjà les premières cibles : les jeunes, les salariés, les précaires, les étrangers, tous ceux que Nicolas Sarkozy stigmatise et accable, tous ceux sur qui pèsera en premier lieu le durcissement des inégalités sociales.

Notre analyse doit également nous permettre de mieux comprendre quels sont les ressorts du succès du sarkozysme, de comprendre ce qui a fait la victoire culturelle de la droite, ce qui a attiré des millions d’électeurs vers l’imposture et la réaction.

Nous appelons donc à la constitution d’un comité national de vigilance républicaine regroupant l’ensemble des organisations, des partis et des syndicats progressistes souhaitant jouer un rôle d’alerte et de mobilisation dans les mois qui viennent.

Notre combat, nous savons que c’est enfin, et principalement, celui de la refondation de la gauche.

Si Nicolas Sarkozy a fait gagner son camp, ce n’est pas seulement à cause des ratés tactiques ou stratégiques de la campagne de la candidate de la Gauche. C’est parce que le candidat de l’UMP a profondément renouvelé les valeurs, le langage et la culture programmatique (Ajout Village Fédéral : et les cadres) de la droite française.

Nous croyons que la tâche de la gauche, c’est de reprendre et de gagner la bataille culturelle, pour rendre les idées de gauche majoritaires dans un pays qui penche fortement à droite.

C’est à ce travail que nous voulons prendre notre part. Parce que nous avons su mobiliser la jeunesse contre le projet de Nicolas Sarkozy, nous devons à présent nous faire entendre sur le sens et l’orientation de la gauche française.

Nos prochains combats doivent œuvrer à la construction d’une Gauche réformiste capable de bâtir de nouvelles protections et de nouvelles solidarités dans la mondialisation, de faire de la lutte contre les inégalités sociales et territoriales notre priorité, de poursuivre la voie inachevée de l’émancipation de chacun dans une société solidaire.

Notre rôle, et nous devrons l’assumer fièrement et avec responsabilité, c’est de donner à la gauche un nouveau souffle.

Alors, plus que jamais le combat continue, au travail !


« Avec Sarkozy, on a élu un PDG »


- Interview de Daniel Carton

Journaliste et auteur d’« Une campagne en off » (Albin Michel).

- Intégral de l’article : 20 Minutes

Dans un livre précédent, « Bien entendu, c’est off », vous avez pointé du doigt les connivences politiques-journalistes. Cette élection a-t-elle changé la donne ?

Non, la profession ne s’est pas non plus ressaisie depuis 2002. Une partie des journalistes - notamment les plus puissants et connus - continuent de s’enfoncer dans la collusion. Ni Sarkozy ni Royal n’ont eu à se plaindre des médias traditionnels à leur égard. Entre les pressions, l’autocensure, les risques de représailles de certaines hiérarchies, on a évité de parler des sujets qui fâchent.

Par exemple ?

Qui a enquête sur la politique de Sarkozy dans les Hauts-de-Seine, héritée du système Pasqua ? Qui a enquêté ur ses rapports avec les chefs d’entreprise ? Qui a analysé ses discours ? A qui emprunte-t-il des idées ?

Quels penseurs recycle-t-il ? Quand les médias ont accepté la bouche en coeur le 14 janvier qu’il avait « changé », l’élection était pliée.

Sarkozy au Fouquet’s, sur le yacht de Vincent Bolloré, ça vous inquiète ?

Rien n’est improvisé chez lui. Il applique la stratégie berlusconienne : créer un électorat fasciné. Avec Sarkozy, nous n’avons pas élu un président, mais un PDG de la France. Et la panoplie qui va avec : yacht, palace, lunettes noires...


Divers


C’est la première fois depuis 1981 que "les sortants ne sont pas sortis"...

Les antilibéreaux n’ont pas su dépasser l’égoïsme des partis pour proposer une alternative unitaire crédible.

“Racaille”, “karcher”, gène de la pédophilie, ministère de l’immigration et de l’identité nationale, haro sur mai 68...Ces formules ou attaques ont permis à Nicolas Sarkozy de récupérer bon nombre d’électeurs frontistes.

Il y avait un problème évident de leadership au PS : personne au fond ne s’imposait. Ni le premier secrétaire François Hollande, ni Dominique Strauss-Kahn, Laurent Fabius ou Jack Lang. Ségolène Royal a donc représenté la nouveauté.Mais elle n’était pas prête.

Obnubilée par les succès initiaux de sa « démocratie de participation », elle a voulu à tout prix poursuivre jusqu’à la mi-février un dialogue devenu stérile avec les sympathisants, perdant ainsi un mois plein (à partir de l’entrée en lice tonitruante de Nicolas Sarkozy le 14 janvier) à un moment clé. Elle a très mal géré des journalistes qu’à l’origine elle fascinait souvent. Sa pratique et sa mécanique n’ont ainsi cessé de hoqueter.


Ségolène Royal a donné, durant la phase la plus intense de la campagne, un sentiment constant et inconfortable d’approximations, voire de contradictions sur le fond. Elle n’était pas la seule dans ce cas, mais chez elle cela se voyait beaucoup. Alain Duhamel


Elle a eu l’intuition de devoir bousculer l’ordre socialiste, mais elle n’a pu le faire que de façon parcellaire, expérimentale ou improvisée, faute d’un socle solide de réflexion collective préalable, mûrie puis métabolisée par la candidate.Jean-Marie Colombani


Des membres importants de son équipe se montrent plus durs : « Avec elle, on ne parlait jamais politique. Elle ne voulait pas discuter de ses décisions. Et nous, on courait derrière. Par rapport à ce que doit être une campagne de professionnels, on en a bavé. » Et de pointer son « absence de capacité à travailler collectivement. Libération


D’après Jacques Généreux économiste, proche d’Emmanuelli, Ségolène Royal n’a pas mené la bataille idéologique pour les valeurs de la gauche. Elle a quasiment validé le discours de Nicolas Sarkozy en gardant une ligne très franchouillarde, proche des idées de droite. "C’est une télévangéliste illuminée, qui va au contact du peuple en pensant qu’elle a un destin mystique particulier, un peu comme Jeanne d’Arc".

La droite a réussi un renouvèlement générationel très important qui l’aide sans doute à apparaître comme étant plus en phase avec la société que ne nous le permettent quelques uns des éminents camarades que nous avons envoyé sur les plateaux télévisés.Valerio Motta (mjs)


L’appel de Ségolène Royal lors d’un meeting à Marseille, invitant toutes les familles françaises à avoir un drapeau tricolore chez elles et a l’exposer à leurs fenêtres le jour de la fête nationale, après avoir encouragé les militants à chanter l’hymne national, a pris une partie de son camp à rebrousse-poil.

Certes, il serait injuste de tout mettre sur le dos de la candidate. Mais avoir prétendu faire du neuf avec du vieux, c’était déjà en soi une authentique imposture. Il en est une autre qu’il convient d’empêcher à tout prix. C’est celle qui consisterait à rejouer le film à la prochaine séance. Pour l’éviter, il est une condition certes non suffisante mais nécessaire : il faut d’abord célébrer les obsèques du Parti socialiste.
Refondation ne rime pas avec replâtrage. Il est temps de hâter le mouvement en débranchant le respirateur artificiel qui maintenait encore un semblant de vie dans un parti fossilisé. Et de dire à Ségolène Royal, et à quelques autres, qu’elle n’est pas habilitée à l’assumer.
Car, désormais, grâce à elle, il reste le plus dur : à vivre concrètement cinq ans dans la France de Sarkozy. François Lafon, maître de conférences en histoire.Rebonds, Libération


Amateurisme


- Source : Le Monde

- Raphaëlle Bacqué

Peu expérimentée et très mal préparée, Ségolène Royal est partie sans aucun doute trop tard.Ils auraient dû être imbattable : lui à la tête du parti, elle candidate.Au lieu de cela, on a vu deux équipes en incessante compétition. Je n’ai jamais entendu de mots plus durs sur Hollande que dans l’équipe de Ségolène Royal et réciproquement. La désorganisation de l’équipe de campagne aura été un fait majeur. Interviews annulées, déplacements improvisés, des centaines de demandes de rendez-vous laissées en souffrance. Face à l’organisation implacable de l’UMP de Sarkozy, le contraste était saisissant.

Le soir du second tour, cette façon un peu surréaliste de faire la "fête" de la défaite a d’une certaine façon tué dans l’œuf les critiques.Mais sa façon toute personnelle de ne pas reconnaître les erreurs est aussi une façon efficace de se protéger psychologiquement.Sans doute, un peu plus tard, faudra-t-il qu’elle fasse la véritable analyse de ses propres erreurs. Si elle ne fait pas cette analyse, elle risque fort de ne pas être mieux préparée pour la suite.

"Elle a de très bonnes idées mais elle ne sait pas les rendre crédibles", reconnaît un membre de son équipe. Ses revirements programmatiques ont été mal perçus.

Points positifs

Dans ces meetings, une vraie ferveur s’est souvent exprimée que l’on n’avait pas vue depuis François Mitterrand. Elle a montré qu’une femme pouvait arriver au deuxième tour de la présidentielle en France. De ce point de vue, c’est une petite révolution.

Présentée comme un exercice démocratique "exemplaire", la compétition interne pour l’investiture du parti a laissé des traces.

Le PS doit susciter une nouvelle génération d’élus, faire émerger des personnalités différentes. Il faut enfin rassembler son camp.

Besancenot, Laguiller, etc.... ont appelé à voter Ségolène ce qui venant de l’extrême gauche était une première.

le Parti socialiste payait "la facture de l’immobilisme après le 21 avril 2002".Arnaud Montebourg

- Intégral de l’article :Le Monde


Défaite de la gauche : le 21 avril 2002 n’était pas un accident


- Par Frédéric Sawicki (Professeur de Science Po. à l’Université de Lille 2)

- Source : ReSo

Par sa position centrale, c’est bien sûr le PS qui porte la plus lourde responsabilité dans la défaite.

En pourcentage, les candidats de la gauche de gouvernement (feu la gauche plurielle) ont obtenu le 22 avril dernier trois points de moins qu’en 2002 (29,37% contre 32,45%). Au total, gauche et extrême gauche ont perdu sept points par rapport à 2002 (36,1% contre 42,89%) ! Le pire score depuis 1969.

Cette déroute est d’autant plus spectaculaire que nous sortons de cinq années de gouvernement de droite que les électeurs ont sévèrement sanctionné à au moins trois reprises (régionales et européennes de 2004, référendum de 2005) !

La gauche s’est révélée incapable de convaincre que le chômage ou la délinquance juvénile sont d’abord liés aux mutations socio-économiques (inadaptation de la main-d’œuvre aux nouveaux emplois) et aux insuffisances de notre système d’éducation et de recherche ou encore aux discriminations dont sont victimes les jeunes issus de l’immigration. Cet étiolement des idées de gauche puise bien sûr sa source dans la déstructuration profonde qu’a connue le monde ouvrier au cours de ces trente dernières années. Le déclin du militantisme syndical et associatif a en quelque sorte laissé place nette à la télévision et à son sensationnalisme.


L’imposture Sarkozyste.


- Source : ReSo

Il était l’homme d’une majorité au pouvoir, il inspirait des craintes et une dangerosité. Pour ne pas avoir à défendre son bilan, Nicolas Sarkozy a inventé sa rupture. Pour ne plus susciter d’inquiétudes, il s’est fait rassurant. La « rupture tranquille » était une imposture. Mais le stratagème s’est imposé aux Français, aidé par la dictature médiatique de l’instant et l’absence de mémoire.

Peu importe la réalité des actes et du passé. Dans cette élection, l’illusion a supplanté l’action. Et Nicolas Sarkozy, l’ami des dominants, s’est fait le porte-voix du changement pendant que la Gauche revêtait, malgré elle, les habits de l’archaisme et du risque.

Dans ce moment de défaite, les seuls regrets que nous pouvons formulés se situent ici. Dans cette incapacité de la gauche à renvoyer la droite à sa vraie nature.


De mai 68 à mai 2007


En prônant dans ces derniers meetings la liquidation l’héritage de mai 68, Nicolas Sarkozy ne s’est pas seulement essayé à un effet de tribune. C’est bien le retour à un vieux monde, celui de l’ORTF et de la rigidité morale, qui nous attend désormais.

La France d’avant 68, c’était le pays d’une hégémonie politique inébranlable, d’une oligarchie économique triomphante, d’une coercition médiatique assumée, d’une société civile cadenassée.

Au plus profond de lui, Nicolas Sarkozy entend revenir à cette époque dorée où la gauche s’était réfugiée dans un monde et des cultures alternatives, incapable d’aspirer au pouvoir.

Et le risque est grand, dans ce lendemain de défaite, de voir les forces de progrès se diluer dans une dynamique minoritaire où les réformistes et les radicaux marcheront séparément.

Le combat AntiSarko continue donc pour nous.Il est une nécessité démocratique et une obligation politique.

Et dès à présent, nous appelons l’ensemble des forces de progrès - associations, partis et syndicats - à se fédérer dans un même collectif pour assurer la riposte sociale et citoyenne aux réformes qui seront, dès demain, imposées par Nicolas Sarkozy.

Notre mouvement s’impliquera de toutes ces forces dans ce travail de « veille » républicaine et s’efforcera de fédérer tous ceux qui veulent s’y engager.

- ReSo

Début de l’article :

Décryptage des élections présidentielles de 2007 (1)

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