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RÉSEAU SOCIAL SOLIDAIRE

Antipropagande et désintox

Sommaire

  • Les villes les plus endettées de France sont de droite
  • Des preuves que la sécurité n’est pas une priorité pour Sarkozy.
  • Appartement gratuit de Jacques Chirac : la famille Hariri l’avait-elle acheté pour lui ?
  • Les caméras de surveillance sont inefficaces
  • Aides aux banques : le mauvais calcul de Sarkozy
  • Délinquance des mineurs, l’intox des chiffres du gouvernement
  • La crise à bon dos
  • Fin des RTT, combien de suicides en plus ?
  • Sarkozy voit des fous dangereux partout
  • La France est un pays de fainéants ?

Les villes les plus endettées de France sont de droite


- Source : Dazibaoueb

Le 28/11/09

Les trois villes les plus endettées, par habitant, de France sont toutes les trois à droite (et sont gérées depuis des lustres par l’UMP) : Levallois-Perret (9 030 euros par habitant), Cannes (4 618 euros) et Fréjus (2 866 euros).


Des preuves que la sécurité n’est pas une priorité pour Sarkozy.


- Source : Sarkofrance

Le 28/11/09

Le budget du ministère de l’intérieur pour 2010 prévoit une baisse de 2 744 postes "équivalents temps plein" parmi les forces de police et de gendarmerie. Celui de la justice diminuera de 911 millions d’euros, principalement sur l’administration pénitentiaire.

Peut-on faire mieux avec moins

Yannick Danio, porte-parole du syndicat Unité-police (majoritaire chez les gardiens de la paix), interroge le gouvernement : "Comment peut-on assurer une meilleure sécurité aux citoyens avec des effectifs en constante diminution ?" Il dénonce, pêle-mêle, la fermeture de huit centres de formation de police, les 2400 lauréats du concours de gardien de la paix qui ne sont toujours pas incorporés dans une école de police et la RGPP (révision générale des politiques publiques) qui prévoit la suppression de 10000 postes de policiers actifs d’ici 2012.

- Intégral de l’article dans L’Express


Appartement gratuit de Jacques Chirac : la famille Hariri l’avait-elle acheté pour lui ?


- Source : L’express

Le 28 decembre 2009

Privilèges

En mai 2007, quelques heures avant le départ de Jacques Chirac de l’Elysée, l’entourage de l’ancien chef de l’Etat faisait savoir dans un communiqué que ""compte tenu des obligations qui sont les leurs, M. et Mme Chirac n’ont pas encore eu le temps de trouver leur logement. Ils occuperont à titre très provisoire un appartement quai Voltaire qui leur est prêté par M. Ayman Hariri (le fils de Rafic), le temps de trouver leur domicile définitif"".Trois ans après, Jacques Chirac est toujours logé gratuitement par la famille Hariri. Et selon l’Express, cette situation risque de durer car l’installation de Jacques Chirac dans cet appartement n’aurait pas vraiment été improvisée...

Situé au 3 quai Voltaire, sur les bords de Seine, en face du Louvre, l’appartement de Jacques Chirac fait 396 m² (et non 180m² comme les médias l’indiquaient jusqu’à présent). L’Express a pu se procurer le document hypothécaire de la Direction générale des impôts qui détaille les huit pièces : ""Deux entrées, un office, un séjour, un salon, une salle à manger, cinq chambres, deux cuisines, trois salles de bains, une salle d’eau, un rangement, trois débarras, trois WC, une pièce, dégagements et balcon"".

Jacques Chirac, logé gratuitement depuis près de 3 ans

Une fois l’appartement acquis en 2001 pour le compte du fils de Rafic Hariri, dirigeant libanais, des travaux sont effectués dans l’appartement pendant plusieurs mois. Mais entre 2001 et 2007, aucun locataire ne va y séjourner jusqu’à l’arrivée de Jacques Chirac en 2007.

L’Express se demande si l’appartement n’avait pas été acheté en 2001 directement pour Jacques Chirac. Lorsque la famille Hariri achète ce bien immobilier, Jacques Chirac est au coude à coude avec Lionel Jospin dans les sondages pour la présidentielle 2002. Un retrait prématuré de la vie politique est donc possible. ""L’appartement d’Hariri tomberait à pic"" dixit l’Express. Et en l’occurrence, l’hebdomadaire a recueilli un témoignage d’un voisin du 3, quai Voltaire qui affirme avoir vu Bernadette Chirac dans l’immeuble plusieurs années avant l’emménagement en 2007.

Une question reste donc sans réponse : quelles ont été les contreparties accordées par Jacques Chirac à la famille Hariri pour bénéficier du privilège d’un logement gratuit ?


Les caméras de surveillance sont inefficaces


- Source : Marianne2
Par Sylvain Lapoix

Mardi 17 Février 2009, extraits...

Selon un rapport de New Scotland Yard, la police anglaise, seuls 3% des délits de rue auraient été résolus grâce aux milliards de livres de matériel vidéo déployés sur le territoire.Si comme en Grande-Bretagne une caméra pour 14 habitants est sans effet , on peut douter qu’une pour 1000 (comme le prévoit Michèle Alliot-Marie) soit plus efficace. Même à titre préventif : les caméras n’ont pas de rôle dissuasif.

En cause, la qualité de l’image, le manque de lumière, le manque de coopération des malfrats qui refusent de bien rester face à l’objectif… et l’impossibilité de mettre un policier derrière chaque écran de contrôle. Et le business est plus que lucratif ! Selon une étude MSI datée de mai 2008, le secteur a connu entre 2003 et 2007 une augmentation de 41%.

- Intégral de l’article : Vidéosurveillance : on y renonce partout, sauf en France


Aides aux banques : le mauvais calcul de Sarkozy


- Source :Libération
Par Nicolas Cori

6 février 2009

Pour ne pas être accusé d’avoir fait un « cadeau » aux banques, Nicolas Sarkozy a promis que son plan d’une valeur totale de 360 milliards d’euros allait rapporter de l’argent au contribuable. Son raisonnement ? L’argent est prêté aux banques, qui vont le rembourser. « Cela n’a pas coûté un centime d’euros aux français, a ainsi martelé le président. Et cela rapportera 1,4 milliards d’intérêt, pour financer des mesures sociales ».
En fait, Sarkozy a fait de multiples erreurs dans son raisonnement. D’abord, il n’a pas mentionné le sauvetage de Dexia. L’Etat a acheté pour 1 milliard d’euros d’actions du groupe franco-belge à 9,9 euros l’unité. Titres dont la valeur s’est depuis effondrée. Elles valent aujourd’hui 2,3 euros. Moins-value potentielle, 770 millions d’euros.
Ensuite, le président oublie de dire que, pour prêter de l’argent aux banques, l’Etat doit lui-même s’endetter, et donc payer des intérêts. Certes, il emprunte à un taux inférieur à celui auquel il reprête l’argent, mais l’opération finale est beaucoup moins profitable. Suivant les cas, l’Etat s’est endetté entre 2,7 et 3,5%. Et il a prêté l’argent à des taux de 4% (pour la partie du plan servant à améliorer la liquidité des banques) et de 8% (pour les avances en fonds propres). Ajoutons que la multiplication de ces opérations va augmenter le risque pris par l’Etat, donc diminuer la confiance des investisseurs vis-à-vis des emprunts d’Etat, qui vont demander des taux plus importants.
Dans son intervention, Sarkozy se fondait sur le fait que le gouvernement avait déjà « utilisé 25 milliards » pour « aider les banques ». Or, ce chiffre ne correspond pas à la réalité.
Au 4 février, l’Etat avait mis à disposition des banques 28,6 milliards d’euros sous forme de prêts et 10,5 milliards d’euros sous forme de fonds propres remboursables. Si on utilise la base de 25 milliards citée par Sarkozy, on obtient un gain net (c’est-à-dire intérêts perçus à 4%, moins le coût de l’endettement) pour l’Etat de l’ordre de 320 millions d’euros. Si on reprend la somme effectivement versée, on arrive à un profit net de 900 millions. Dans les deux cas, une différence de taille avec les 1,4 milliard de Sarkozy.

- Intégral de l’article dans Libération


Délinquance des mineurs, l’intox des chiffres du gouvernement


- Source : Libération

3 déc 2008

L’augmentation de la délinquance des mineurs, grande marotte de la droite.

La part des mineurs dans le nombre total de mises en cause baisse nettement depuis dix ans, passant de 22% en 1998, à 18% en 2007.

Le 16 octobre, la garde des Sceaux Rachida Dati affirmait sur France 2, l’air grave : "Il y a 204.000 mineurs qui sont mis en cause pour des actes graves. Mais des mineurs délinquants, madame Chabot, c’est des violeurs, des gens qui commettent des enlèvements, des trafics de produits stupéfiants. Ce sont des gens qui brûlent des bus avec des personnes dedans".

"l’ensemble des faits susceptibles d’être qualifiés de criminels (homicides, viols, vols à main armée, prise d’otage, trafics de drogue) ne représentent que 1,3% du total". Ce qui signifie que 98,7% des faits constatés ne sont pas des actes graves. Il s’agit de vols, dégradations, simples bagarres ou usage de drogue.

C’est une assimilation grossière de la population délinquante mineure à la criminalité selon Laurent Mucchielli*.

Les statistiques de la justice confirment ces chiffres. Mucchielli a comparé la répartition par classe d’âge des condamnations en 1989 et 2006. Le résultat est une stabilité quasi parfaite de la proportion des condamnés mineurs, que ce soit les moins de 13 ans, les 13-16 ans ou les 16-18 ans.

Ironiquement, la seule augmentation, en proportion, concerne la classe d’âge des 40-60 ans. Ce qui amène Mucchielli à écrire que ce dernier chiffre pourrait presque conduire à une hypothèse inverse de celle qui est admise par l’opinion : celle d’un vieillissement relatif de la délinquance en France.

*Télécharger la note de Laurent Mucchielli (sociologue directeur de recherche au CNRS) elle remet les chiffres dans leur contexte. pdf

PDF - 97.7 ko

- Intégral de l’article dans Libération


La crise à bon dos


- Source : Blog de Pierre Alain Muet

lundi, 06 octobre 2008

Dans son intervention consacrée à l’économie, le 25 septembre, à Toulon, Nicolas Sarkozy a enfin reconnu que la France entrait dans une phase de récession. Pour lui, ce recul est exclusivement le fruit de la crise financière venue des États-Unis. Pierre-Alain Muet, député PS de Lyon et ancien président délégué du Conseil d’analyse économique, juge l’explication facile et un peu courte. Selon lui, une crise de confiance spécifique à la France, dont le gouvernement est seul responsable, a affaibli l’économie française bien avant que la crise financière produise ses effets. Il décrypte les effets d’une politique économique vaine, fondée sur l’incantation et l’agitation.

"Comment peut-on plaider sérieusement pour la régulation de l’économie mondiale, quand on pratique dans son propre pays la dérégulation systématique ! Toute la politique de Nicolas Sarkozy depuis 16 mois, c’est l’application intégrale du credo libéral : dérégulation du marché des biens avec la loi dite de « modernisation de l’économie » votée il y a quelques mois, dérégulation du marché du travail avec la loi ouvrant la porte au démantèlement du droit du travail en juillet, désengagement de l’État dans les services publics

La France connaît une grave crise de confiance et un déficit de croissance, et cela, bien avant qu’apparaissent les effets de la crise mondiale. Notre pays est resté à l’écart de la croissance européenne ces dernières années et nous avons creusé nos déficits et notre dette quand tous les autres pays mettaient à profit la reprise européenne pour les réduire.

Comme le gouvernement n’a aucune marge de manœuvre, puisqu’il les a dilapidées l’an dernier avec le paquet fiscal, il construit un budget d’austérité là où il faudrait au contraire soutenir l’activité économique. Non seulement ce budget d’austérité va accentuer le ralentissement de l’économie, mais de l’avis de la plupart des conjoncturistes, notre pays risque en outre de dépasser, en 2009, le seuil des 3 % de déficit public.

En réalité, la récession avait commencé bien avant, car la consommation et le pouvoir d’achat étaient déjà en baisse depuis le début de l’année 2008. La crise mondiale n’a fait qu’ajouter une couche de déprime à une économie déjà en panne de confiance et de croissance

Sarkozy impute à la situation internationale les difficultés économiques rencontrées, tout en constatant qu’ailleurs les choses se passent plutôt mieux qu’en France. Pour se dédouaner de toute responsabilité dans la morosité ambiante et justifier l’absence de résultats tangibles de son gouvernement,il se refuse à assumer ce bilan pitoyable .

Vous constatez aujourd’hui que « les caisses sont vides », que l’économie et les finances de notre pays se dégradent en matières de croissance, de balance commerciale, de déficit budgétaire, de dette publique…

Sarkozy, assumez vos responsabilités ! "

- Intégral de l’article : récession et crise financière


Fin des RTT, combien de suicides en plus ?


- Source : Bétapolitique.fr

31 août 2008

Par Aline

"France Télécom, Renault, Peugeot, BNP Paribas, Société Générale, EDF… c’est plus d’une quarantaine de suicides qui sont recensés depuis début 2007. Les entreprises du CAC 40 donnent le ton d’un mode de management qui engendre drames humains et gâchis économiques."

Pour Jean-François Bolzinger , secrétaire général adjoint de la CGT des cadres et technicien-nes : “ le travail ne se juge plus qu’à la réalisation des objectifs, au prix d’une pression physique et psychologique croissante, d’une intensification insoutenable du travail. L ’alerte que constitue la multiplication des suicides en entreprises est délibérément ignorée. ”

La CGT des cadres et technicien-nes redoute que la mise en cause des RTT et l’augmentation du forfait pour les cadres ne fassent qu’accentuer ce mal-être au travail. Pour la centrale syndicale, les suicides sont "le résultat d’un mode d’organisation et de pilotage de l’entreprise construit pour la seule satisfaction des actionnaires".

"Combien de drames faudra-t-il encore supporter pour que le patronat envisage de modifier son mode de management ?” demande Jean-François Bolzinger qui dénonce un management technicisé qui se généralise et qui vise à détruire tout obstacle à la rentabilité financière à court terme, à occulter la finalité des missions et à évacuer la dimension humaine et collective du travail.

- Intégral de l’article dans Bétapolitique.fr


Sarkozy voit des fous dangereux partout


- Source : Libération

Trois semaines après la mort d’un étudiant de 26 ans, poignardé dans le centre de Grenoble par un homme qui s’était échappé d’un hôpital psychiatrique où il avait été hospitalisé d’office, Nicolas Sarkozy a présenté aujourd’hui des mesures pour que "le drame ne se reproduise pas".

Le président y a notamment annoncé la "réforme de l’hospitalisation d’office". Cette procédure, qui est une mesure d’ordre public, est une décision du préfet -ou du maire dans les petites villes. Elle concerne les "personnes qui nécessitent des soins et compromettent la sûreté des personnes ou portent atteinte, de façon grave, à l’ordre public".

Explication de Sarko : "le drame de Grenoble ne doit pas se reproduire. Vous me direz que les hospitalisations d’office ne représentent que 13% des placements. Mais c’est celles qui exigent le plus de précautions, celles qui sont le plus difficiles".

De son passage au ministère de l’Intérieur, Sarko a conservé cette tendance à gonfler les chiffres pour frapper les consciences. Car ce chiffre de 13% d’hospitalisations d’office est tout à fait faux. Ces hospitalisés d’office, qui présentent effectivement un caractère de dangerosité (souvent vis à vis d’eux-même) ne représentent en fait que 2% des placements.

Les 13% évoqués par Sarko correspondent aux "hospitalisations sans consentement". Ces derniers intègrent effectivement les placements d’office, mais concernent surtout, et en grande majorité, les placements à la demande d’un tiers, c’est à dire les hospitalisations de personnes dont les troubles rendent impossible le consentement. Et qui n’ont rien à voir avec le profil du meurtrier de Grenoble.

- Intégral de l’article dans Libération


La France est un pays de fainéants ?


Eh ben, les Européens sont pires que nous, si l’on en juge la carte fournie par le site "Toute l’Europe"

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Décidemment, si on travaillait le dimanche, ce serait trop...

CC



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